Le lycée de Mirepoix, où le trio de mon Épopée Rustre a littéralement « mis le feu », m’a fait passer cinq chroniques aussi différentes qu’intéressantes. Voici celle de Maxence, qui met l’accent sur la pression sociale portée par un simple regard, scellée par une innocente étiquette.
Guillaume
Loin des chemins balisés…

L’auteur critique habilement ici tous les clichés entendus dans une société normée dite libre où l’art de paraître est maître ! La liste répétitive de toutes les contraintes imposées par la doxa montre bien la pression sociale qui s’exerce : on est vite « étrange » ou « snob » si on se distingue…
La clôture se fait par une chute ironique vantant la grande liberté de notre société ! Les instruments accentuent cette anaphore du café du commerce, « on me dit », avec des cassures qui suggèrent l’agacement, le trop plein, la révolte.
On me dit de ne pas se fier aux apparences et moi de même, je vous dis de réécouter ce qui se cache derrière les « pa, pa, ya, pa » du refrain…
Maxence